Dans l’article de « Libération » du lundi 18 mai
(cliquez sur le lien ci-dessous), on apprend que le premier ministre Manuel
Valls, tout en rappelant sa volonté de démanteler les campements, souligne
l’impératif d’un « diagnostic social » avant tout démantèlement.
Le 41, rue de Clichy, qui n’est pas un campement mais un
village à l’abandon, progressivement délaissé et livré à lui-même, ne
devrait-il pas bénéficier plus encore de ce diagnostic ? Où en est-t-on?
Quand commence-t-il ? S’agira-t-il d’un « tri » de dernière
minute, effectué à la va-vite, entre « bons » et
« mauvais » Rroms, ou d’un travail approfondi mené au cas par cas,
susceptible de déboucher sur des solutions viables ? Cela, Manuel Valls ne
le dit pas.
Un rappel des récentes condamnations de la France par l’ONU,
relatives au traitement réservé aux Rroms, figure en fin d’article. L’ONU parle
« d’exclusion massive »…
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